Kilgharra

Kilgharra est un volcan imposant qui domine une grande île isolée, autrefois marquée par des éruptions violentes, mais désormais recouverte par une végétation luxuriante. Les terres volcaniques fertiles ont permis à la nature de reprendre ses droits, transformant les plaines autrefois arides en jungles verdoyantes et en forêts denses. Des arbres aux feuillages épais, des lianes, et des fleurs tropicales couvrent les flancs de la montagne, créant un paysage à la fois magnifique et sauvage.

Malgré l’aspect menaçant de Kilgharra, avec la renaissance de la nature, des tribus et des communautés isolées ont trouvé refuge dans ses vallées cachées, protégées des regards extérieurs par les montagnes. Ces peuples vivent en harmonie avec la nature rude de la région, et certains d’entre eux vénèrent encore les dragons comme des créatures divines.

Le volcan, toujours actif, crache parfois des nuages de fumée et de vapeur dans le ciel, donnant à l’île une atmosphère mystérieuse et intimidante. Les rares aventuriers qui s’y risquent doivent faire face à un environnement imprévisible, où la faune sauvage et la magie latente des terres volcaniques créent des dangers insoupçonnés.

Kilgharra, avec ses paysages à la fois majestueux et hostiles, est un endroit que peu de personnes osent explorer, un sanctuaire naturel protégé par le volcan, et habité seulement par les secrets que la terre brûlante refuse de livrer.

Pour beaucoup, Kilgharra est un lieu de légendes et de mystères. Les anciens parlent de puissants artefacts enfouis dans les entrailles du volcan, et des mages comme Milles Highill, autrefois gardien de Fortlevent, y puisent des pouvoirs liés au feu et à la destruction. Il est aussi dit que ceux qui osent s’approcher trop près du sommet pourraient être confrontés au regard du dragon légendaire, un être d’une puissance inimaginable, dont l’éveil pourrait déclencher des calamités sur tout le continent.

Malgré l’aspect menaçant de Kilgharra, des tribus et des communautés isolées ont trouvé refuge dans ses vallées cachées, protégées des regards extérieurs par les montagnes. Ces peuples vivent en harmonie avec la nature rude de la région, et certains d’entre eux vénèrent encore les dragons comme des créatures divines.

Damota – Jour 42

Le groupe, épuisé mais victorieux après le combat acharné contre Harkon Lukas sous sa forme de loup-garou, se rassembla pour panser ses plaies. Ma trousse de premier soin se vida rapidement, témoignant de la violence du combat, surtout pour Lou et Zilgath, qui portèrent les marques les plus profondes.

Alors que nous reprenions nos esprits, un homme apparut derrière nous. Alden, comme il se présenta, révéla qu’il cherchait également à vaincre Harkon, chose que nous venions de faire pour lui. Acceptant sa présence dans le groupe, Pour tester ses compétences martiales, je lui lança une hache, non pas pour le blesser mais pour voir ses réflexes. Il réussit à la perfection le test en l’attrapant d’une dextérité impressionnante.

Après quelques discussions, le groupe décida de prendre un peu de repos malgré le lieu hostile qui les entourait. J’exprimai tout de même mon désaccord, conscient des dangers qui pouvaient surgir à tout moment.

Durant mon tour de garde, alors que je m’endormais en affûtant ma hache, rien ne sembla menaçant. Cependant, pendant le tour de garde d’Ashtikash, une malédiction sembla s’abattre sur lui. Son armure, possédée par une force obscure, tenta de s’en prendre à Esméralda en tentant de la violer. Un cri de détresse retentit, en réveillant en sursaut tout le groupe. Rapidement, je me précipitai pour repousser mon ami pour ainsi séparer Esméralda d’Atshikash. Le heaume de son armure se déplaça magiquement vers sa tête, tandis que Zilgath fut plus rapide que l’armure et lança un sort pour empêcher l’armure de prendre possession totale de notre ami.

Lou suggéra de dissiper l’enchantement de l’armure et de tenter de la retirer d’Ashtikash. Malgré les avertissements répétés d’Ashtikash, qui mettait en garde contre la difficulté de la tâche, nous décidâmes de persévérer dans notre tentative. Malheureusement, les prédictions d’Ashtikash se concrétisèrent : l’armure prit momentanément le contrôle de notre compagnon. Face à cette menace, je réagis promptement en l’agrippant et en le maintenant au sol avec toute la force dont je disposais.

Fort heureusement, ma robustesse et mes compétences athlétiques surpassaient celles de mon ami. Si j’avais dû le défier dans un combat direct, j’aurais probablement été rapidement vaincu. Après plusieurs minutes d’une lutte acharnée, Ashtikash réussit finalement à reprendre le contrôle de son propre corps.

Cette épreuve nous rappela la nécessité de la prudence face aux forces magiques. Nous en tirâmes la leçon que certaines malédictions étaient plus coriaces à briser que prévu, et qu’il fallait agir avec circonspection dans un monde où la magie pouvait se retourner contre nous à tout moment.

Après cette épreuve, Ashtikash décida de rester en retrait pour éviter que de telles situations ne se reproduisent. Malgré nos suggestions de le placer à l’avant, son entêtement persista, et le groupe continua l’exploration du donjon.

Arrivant face à une porte sans serrure, je pris le marteau de guerre de feu Grotta pour la défoncer en quelques coups.


À l’intérieur de la pièce, le groupe découvrit avec stupeur Firan tenant Dranika en otage. Une surprise qui nous figea tous, confrontés à une nouvelle épreuve inattendue.

Rencontre avec mon oncle

Je n’aurais jamais du quitter ma femme.

Miner mes coffres familiaux, détruire ma réputation, être victime de violences psychologiques et physiques de son égard n’ont rien sur ce qui se produit avec le groupe que j’ai rejoint.

Nous sommes en terres de Varnae. La ou les cauchemars sont réalité. Mes compagnons aventuriers trouvent le moyens de troubler les esprit qui demeurent dans la maison de mon oncle. Lors de notre arrivée l’un deux nous a presque tuer alors qu’une créature est apparue d’une statue.

Puis, ensuite en insistant pour explorer les lieux, d’autres se sont alliés avec des gamins spectraux. Ils ont fait un pacte avec eux. À en croire qu’ils était convaincue qu’ils était encore vivant.

Quand le spectre de mon oncle s’est enfin manifesté, la petite hippocratique maladroite, Dranika à fait un pacte avec le diable pour aller détruire les ossements qu’il collectionnait au sous-sol.

Heureusement Damota était la pour voir clair dans le jeux de ce non-vivant. Je crois qu’il est notre seul espoir de survie ce Damota. Cependant, son humeur est dangereusement vacillant. Tout comme ma femme, il pourrait à tout moment retourner cette haine contre les gens proche de lui.

Derwood quand à lui est totalement disjoncté. Il fume des petites herbes, est un alcoolique finis qui va boire tout les poisons qui trainent dans les fonds de celliers.

Heureusement pour moi, je vais éventuellement pouvoir profiter des enseignements de Firan. Nous l’avons vu dans le feu de l’action aujourd’hui. Il communiait avec les esprits. Nous les voyons entrer en lui, le traversant et l’imbibant de leurs savoirs. J’espère un jours surpasser mon maitre Firan dans les arts arcanique.

Kira prétends ne pas avoir de pouvoir. Elle se prétend être le vaisseau d’une entité tout puissante. Un dieu. Quand j’aurai maitriser les pouvoirs magiques de ma femme, de Firan et de tout les sages de cette terre. Personnes ne pourra plus m’intimider. Je pourrai, moi aussi devenir un dieu qui sera vénéré. Et moi aussi j’aurai un pouvoir discrétionnaire sur les sujets qui pourrons profiter de ma bontés magique.

Mais, le temps n’est pas encore arrivé. Je suis encore à la merci de ses imbéciles. Alors qu’ils suivait les directives des fantômes et les caprices d’une hippy qui fait des pactes avec des démons, nous avons du affronter des chats démoniaques dans le cellier de mon oncle. Mon traitre de famillier s’est moqué de moi et m’a jeté le mauvais oeil. J’ai tombé et je me suis poignardé moi-même. Je n’Ai pas été capable d’accomplir mes tâches de base de simple garde du corps. Je dois avoir une discussion sérieuse avec lui afin de redresser les pendules. Mais, s’il est capable de me causer autant de tord pour une requête aussi simple quel sera son attitude si je lui demande obéissance?

Dans la chambre voisine du cellier se trouvait une chambre caché. Nous avons du chercher près de 20 minutes car mes compagnons aveugles ne voyait pas les traces claires de ce passage.

Quand nous avons enfin trouvé la source de la terreur dans ces lieux. Heureusement le patron de Kira nous a aidé à détruire la pierre de puissance des esprits. Quand la version possédé de mon oncle s’est pointés nous avons été sauvé par la magie impressionnante de Dranika, puis ensuite presque tuer par son manque de subtilité. La pauvre fille s’est offerte en mariage à un cadavre marchant. En espérant le duper avec de belles paroles elle allumait un feu grégeois sans aucune subtilité pour lui jeter au visage.

Heureusement pour nous, elle a eu plus de précision dans son lancé que dans son subterfuge. Pendant ce temps Derwood essayais d’apprivoiser un reptile volant mortel. Et Damota semblais perdre ses capacités à faire des phrases complètes et communiquais de plus en plus en onomatopées.


Malgré tout ça nous avons survécu. J’ai piller le trésor en premier. J’ai partagé les objets pour lesquels je n’avait aucun intérêt avec mes compagnons.

Maintenant nous devons retourner auprès de Firan afin qu’il puisse nous partager ce qu’il a appris et que je puisse enfin me rapprocher de la puissance des dieux.

Damota – Jour 24

J’ai croisé un homme de huit pieds, une silhouette aussi imposante qu’inquiétante. Il est entré dans une pièce, et Kira, l’une de nos compagnes, a décidé de le suivre. Je n’ai pas eu le temps d’entrer dans la pièce que l’homme avait disparu, comme s’il s’était évaporé dans l’air.

Après cet étrange épisode, je me suis finalement calmé. Mes compagnons avaient découvert deux enfants dans une autre pièce, mais quelque chose n’allait pas avec eux. Surtout la petite fille qui ne parlait pas. Son jouet, un sinistre cube avec une poupée enchaînée dessus, m’emplissait d’effroi. La manière dont elle le torturait en disait long sur sa nature. Elle n’était décidément pas commode.

Nous avons poursuivi notre exploration, et j’ai eu l’impression que ma réaction précédente avait encouragé les autres à ne plus avoir peur. Ils avançaient désormais avec une témérité presque aveugle, sans prêter attention aux dangers qui nous entouraient. Je peinais à les suivre.

Derwood, un homme plus âgé qui semblait moins téméraire, m’attendait patiemment. Il me demanda si je le laissais me transformer en gaz, une proposition pour le moins étrange. Je me méfiais de ses intentions, n’ayant fait sa connaissance que depuis quelques heures. La magie pouvait rendre fou, et je n’avais pas besoin de cela.

Pourtant, Derwood se transforma lui-même en fumée et passa à travers la porte en laissant la serrure intacte. J’avais peut-être mal jugé ses intentions, il semblait être un allié avec des compétences magiques bien pratiques. Mais sa manière de parler me laissait penser qu’il n’était pas tout à fait sain d’esprit.

Après avoir ouvert la porte, nous nous rendîmes compte que la pièce n’était qu’un simple cellier. Pendant ce temps, les autres avaient pénétré dans la chambre des maîtres de la maison. Nous y trouvâmes un homme à la barbe bleue qui nous attendait. Après une conversation avec Charles, nous découvrîmes que c’était son oncle et que le véritable nom de chuck était Baltazar. Pourquoi avait-il caché sa véritable identité ?

Depuis peu, je sentais la présence de Sol près de moi. Elle me permit de dévoiler la véritable nature de l’homme à la barbe bleue. Ce n’était pas un homme, mais un spectre, et il était accompagné de nombreux suppôts. Si cela ne dépendait que de moi, je l’aurais fendu en deux avec ma hache.

Depuis le départ d’Atshikash, les combats étaient devenus beaucoup plus difficiles, et je devais compenser son absence. C’était dangereux d’être le seul combattant, mais, Baltazar ou Chuck, je ne sais plus comment le nommer, se révélait impressionnant à chaque combat. Il maniait habilement sa rapière et visait les points faibles de nos adversaires.

Nous retournâmes auprès de Firan, le chef de notre étrange groupe. Dranika et moi avions une conversation sur mon amnésie. Je lui faisais confiance, pour qu’elle raison me mentirait-elle après se donner autant de mal à m’éclairer. Elle me donne des informations sur notre quête initiale, et je ressentais le besoin de connaître les compétences de mes compagnons. Je veux me débarrasser au plus vite de ce livre et de cette hache, des artefacts qui ne semblaient apporter que le mal. Je craignais qu’ils ne tombent entre de mauvaises mains.