Je me tenais au sommet de la paroi rocheuse, épuisé après avoir vaincu Firan. Arbrogast, recouverte du sang du sorcier, brillait faiblement sous les rayons du soleil levant. Le vent soufflait violemment, emportant avec lui les derniers vestiges du combat qui avait eu lieu sur le pont désormais détruit.
Firan était un adversaire redoutable, utilisant des sorts sournois et des illusions trompeuses pour tenter de me surprendre. Mais j’ai puisé au plus profond de ma force et de mon courage pour le terrasser. Ma détermination et ma maîtrise de la hache m’ont permis de résister aux pièges magiques et de porter les coups fatals au sorcier maléfique.
Malheureusement, la victoire n’était pas sans conséquences. Les pouvoirs dévastateurs du sorcier ont causé l’effondrement du pont qui nous surplombait, me laissant bloqué sur la paroi rocheuse enneigée. La descente s’annonçait périlleuse, et la neige menaçait de nous envelopper à tout moment.
Je respirais profondément, cherchant à apaiser mon esprit agité et mes muscle crispé par la rage de vaincre mon adversaire. Je ne pouvais me permettre de paniquer maintenant. Avec calme et concentration, j’étudiais la paroi pour déterminer le meilleur chemin de descente. Chaque mouvement devait être calculé avec précision pour éviter les zones fragiles et les fissures instables.
Le vent sifflait de plus en plus fort, cinglant mon visage et masquant mes empreintes dans la neige. La lumière du jour ne suffisait plus pour éclairer les prises, ajoutant une urgence supplémentaire à ma situation. Chaque instant qui passait me rappelait l’importance de trouver rapidement une voie de descente sûre.
Avec une détermination farouche, je commençais à descendre la paroi, grimpant et me faufilant avec agilité malgré l’épuisement de la bataille. Mes mains glacées saisissaient fermement les aspérités rocheuses, tandis que mes pieds trouvaient précairement des prises dans les crevasses gelées.
La descente semblait interminable, et à plusieurs reprises, je faillis perdre pied. Mais je persévérais, refusant de me laisser abattre. L’image de mon mes allier et ma quête, dont le sort dépendait de ma réussite, me donnait la force de continuer.
Quand j’atteignis le pied de la paroi rocheuse, épuisé mais déterminé à poursuivre mon périple, je fus surpris de trouver un étranger, debout dans une pile d’ossements. Son regard le même que Firan. Il était évident qu’il était là pour une raison, et peut-être, Sol l’a mis sur mon chemin, pour m’apporter le secours dont j’avais besoin pour remonter la falaise opposée.
Malheureusement, je réalisa que 2 de mes compagnons périt au combat, ou dans la chute, Sorkan et Grota.
Sans hésiter, je m’approchai de l’étranger, cherchant à connaître son nom et sa raison d’être ici. Il se présenta comme Vilgath, et il avait été attiré par les bruits du combat et de l’effondrement du pont.
J’étais exténué. Nous avons réussi a trouver une tente d’un cadavre qui n’a pas eu notre chance. Nous passerons la nuit ici, entourer d’os et de chair en putréfaction. Dès notre réveil, nous nous mîmes immédiatement au travail. Nous étions conscients des dangers de l’escalade, mais nous savions que c’était la seule issue pour rejoindre la civilisation.
Je pris la corde, la nouai solidement autour de ma taille et entamai l’ascension de la paroi, en utilisant les conseils avisés D’atshikash. Les prises étaient rares et glissantes, mais chaque mouvement calculé me rapprochait un peu plus du sommet. Vilgath, Morana et Derwood restait en bas, attendant mon ascension.
Après un effort considérable, j’atteignis enfin la plateforme rocheuse en haut de la falaise. À présent, il me fallait aider mes compagnons à gravir la paroi. Je pris la corde et força comme si leur vie en dépendant, c’était réellement le ça.
Un par un, mes compagnons commençaient à grimper, je les aidais en les hissant à l’aide de la corde.
Enfin, le dernier de mes compagnons, Morana, réussit à rejoindre le sommet. Nous nous retrouvâmes tous, épuisés mais soulagés d’avoir franchi cette étape périlleuse. J’exprimais ma gratitude envers Sol pour son aide précieuse, car sans elle, nous n’aurions jamais réussi à escalader cette falaise escarpée.
Finalement, au sommet un humain nain vit nous parler. Il nous tandis une lettre. Voici le message qui était à l’intérieur:
Chères voyageurs, Bienvenue à Varnae. Sachez que je ne vous offre pas l’hospitalité à l’intérieur de mon château Tristannoria, si vous persistez a vouloir y pénétré alors je n’aurais d’autre choix que de vous percevoir comme des ennemis et j’agirai en conséquence . Je crois que cela n’était pas votre intention de m’offensé et que ce différent peut être réglé avec l’art de la diplomatie. Je propose une rencontre ce soir à Yester hill ma voiture vous remontera jusqu’à moi . J’espère que notre discussion mettra fin a tout malentendu entre nous et que vous apprécierez votre séjour dans mon magnifique pays.
Votre ami : V
PS: Dranika se morfond de vous rencontrer surtout son compagnon Asthikas.
Notre aventure est loin d’être fini…